Père, toi qui as merveilleusement créé l’homme et plus merveilleusement encore rétabli sa dignité, fais-nous participer à la divinité de ton Fils puisqu’il a voulu prendre notre humanité.
Priée d’ouverture de la messe de l’Aurore de la nativité
A Bethlehem et Jérusalem, nous sommes en train de vivre une rupture spatio-temporelle. Au soleil, nous vivons la Nativité, les Rameaux, le Jeudi-Saint et l’Assomption en une seule journée : Quatre-en-Un !
Ce matin, nous commençons par célébrer la messe du matin de Noël à l’église catholique Ste Catherine de la Basilique constantinienne de la Nativité après avoir franchi la fameuse porte basse qui oblige à se plier pour pouvoir passer en signe d’humilité. « Il est né le divin enfant », « Douce nuit » montent sous les voûtes : douce étrangeté … Joyeux Noël …
La basilique est un complexe construit sur un réseau de grottes. A l’issue de la messe, nous ne pouvons nous rendre dans la grotte de la Nativité où se trouve la célèbre étoile à 14 branches. Elle est occupée par une célébration orthodoxe. Nous visitons alors la grotte de St Joseph qui est mitoyenne puis la grotte de St Jérôme où il a traduit les évangiles de grec en latin.
Nous y avons chanté « Viens Esprit de sainteté » pour que celui-ci nous aide à « manger » les écritures.
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Nous franchissons le checkpoint du Mur qui sépare la Cisjordanie palestinienne, où nous résidons, d’Israel. Nous sommes bien sages et des plus naturels. Un soldat armé visite notre bus puis redescend en nous saluant d‘ un souriant Shalom !
Après nous être insérés dans la circulation difficile du chapelet des cars, nous arrivons au Mont des Oliviers qui est une zone très construite, bien loin de ce qu’a pu connaître Jésus.
Un enseignement sur le Notre-Père nous est donné par le Père Benoit au Carmel du Pater. C’est à cet endroit, proche de Béthanie, que Jésus l’a transmis aux apôtres. Des plaques de faïence innombrables affichent cette prière qui transforme l’être dans toutes les langues du monde, y compris les plus méconnues.
Puis, c’est à partir du cimetière des prophètes que nous contemplons la magnifique cite sainte de Jérusalem : église de la Dormition, mosquée Al aqsa et Dôme du rocher, sites musulmans construits à l’emplacement du grand temple juif détruit en 70.
C’est un moment de grande joie générale.
Nous faisons la descente à pied du mont des oliviers vers le jardin de Gethsémani qui se trouve dans la vallée du Cédron à l’est de Jérusalem. C’est le chemin qu’a suivi Jésus pour son entrée triomphale à Jérusalem, le jour des Rameaux, par la Porte Dorée. Cette porte a été murée par les musulmans, elle sera réouverte pour le retour du Messie. Les « Hosannas, Hosannas … » fusent des cœurs.
Notre arrivée à Gethsémani, le lieu du pressoir, nous introduit dans le triduum pascal. Un jardin avec de beaux et très anciens oliviers entoure l’église de Toutes-les-Nations qui contient le rocher où Jésus a vécu son agonie dans la nuit du Jeudi Saint au Vendredi Saint. L’église porte bien son nom. La foule de tous les peuples se suit, se croise avec respect et bienveillance. Elle se met en une procession patiente pour toucher le rocher de l’agonie et se recueillir. L’émotion est intense, des larmes jaillissent. C’est le moment de demander au Seigneur la fidélité, l’acceptation, l’espérance quand tout semble perdu.
Le dicton « les émotions, çà creuse … » est vérifié et c’est avec grand plaisir que nous prenons note déjeuner dans une guesthouse protestante et … écossaise …
Et nous reprenons le bus pour le Mont Sion. Nous pénétrons dans la maison où l’on fait mémoire du dernier repas que Jesus a pris avec ses disciples et que l’on nomme Cénacle en rapport avec la Cène
Ce lieu a été transformé en église puis en mosquée
Faire mémoire de la Cène c’est, comme nous l’explique le Père Benoit, se rendre contemporain du dernier repas de Jesus par l’Esprit Saint.
Nous sommes rendus présents à la fois à ce qu’il s’est passé ici, il y a 2000 ans, et aussi au salut éternel. Nous sommes dans une compression du temps et également dans une compression de l’espace puisque nous sommes en Communion à la fois avec nos frères et avec les saints.
Chacun ou chacune invoque l’Esprit Saint par un geste sur son voisin ou sa voisine pour une grâce qu’il lui souhaite.
Nous nous rendons ensuite au Tombeau de David (lieu présumé) situé dans une école talmudique. Les femmes rentrent à gauche et les hommes à droite pour ne plus se rencontrer. Côté droit, des hommes étudient les écritures et prient en se balançant. De ce côté aussi se trouve un beau meuble tabernacle contenant les rouleaux de la Torah.
Toujours sur le Mont Sion, nous nous rendons à la basilique de la Dormition, grande église allemande où nous faisons mémoire de la Vierge Marie.
C’est en ce lieu que la tradition situe l’endormissement de Marie avant sa montée au ciel que nous appelons l’Assomption.
Dans la crypte où se situe un gisant représentant Marie, nous récitons une partie du chapelet sur les mystères de l’Annonciation et de la Visitation qui nous permet de prier avec Marie en méditant la Parole de Dieu.
Nous remontons ensuite au niveau supérieur de l’église où le père Benoit fait un enseignement sur le Lavement des Pieds. Dans l’évangile selon Saint Jean, Jésus, la veille de sa Passion, a lavé les pieds de ses apôtres en signe de service et d’amour.
A sa suite nous sommes appelés à nous mettre au service de nos frères.
Et nous sommes aussi invités à nous laisser aimer par le Christ et par ceux qui nous aiment. Et ce n’est pas si facile.
Pour en faire l’expérience spirituelle, les prêtres proposent à l’ensemble des pèlerins, s’ils le désirent, de venir dans le chœur se faire laver un pied par les prêtres et diacres.
Ce geste très fort nous émeut et nous touche. C’est un pas de conversion de plus sur le chemin de notre pèlerinage.
En sortant il fait presque nuit. Nous parcourons à pieds le quartier arménien avec le monastère Saint Jacques où se trouve le Mandylion d’Edesse (empreinte du visage du Christ).
Avant de franchir la porte de Jaffa, sortie Ouest de Jérusalem, nous passons devant le Palais qu’Herode occupait au moment des fêtes juives et où le Christ a été probablement jugé et emprisonné.
Nous retrouvons le bus et direction boutique à Bethleem mais le trajet s’est avéré beaucoup plus long que prévu. Le Check point où nous devions passer est fermé et nous oblige à prendre un autre accès. Cela créée un embouteillage monstre.
Nous arrivons à l’hôtel vers 20h15 pour diner puis enchaîner sur une conférence du journaliste israélien Stéphane Amar sur la situation de son pays avec la Cisjordanie palestinienne.
Voilà une journée bien remplie. La vie de pèlerin n’est pas cool mais qu’est ce que bien !
La conclusion se trouve dans une affichette qui se trouve sur la porte de l’église Sainte Catherine dans la basilique de la Nativité de Bethlehem :
Si vous entrez ici comme Touriste, vous sortirez comme Pèlerin
Si vous entrez ici comme Pèlerin, vous sortirez un peu plus saint.
des pèlerins du car de Mantes-La-jolie
Terre Sainte 2019 07.11.2019
7h22 départ du car,
Agnès Chambre nous rappelait les consignes : respect des horaires , tenues correctes , ne pas s’asseoir avec les jambes croisées , pas de courses au cours de la journée , suivre le guide de près , avoir de la monnaie sur soi pour donner aux différents intervenants et différents offices?
Nous célébrions la messe de Noël dans la basilique de la nativité de Bethlehem :
le père Benoît parlait de la lignée de Juda, de Ruth … Jessé David ….. Joseph Jésus qui était né dans une grotte de Bethlehem.
En l’an 339, la mère de l’empereur Constantin Hélène faisait construire la basilique de la nativité.
La porte d’entrée sous un arc est abaissée exprès car Jésus, qui est Dieu, s’est abaissé pour prendre la condition de l’homme aussi pour éviter que les cavaliers puissent entrer par cette porte puis la deuxième porte est en bois sculpté, Elle a été offerte par le roi de l’Arménie. La grotte de la nativité est juste derrière le rideau.
On allions partir vers la partie catholique,
On était à 5 m de La Croix à 5 branches, mystère de l’incarnation, que le monde entier vient la toucher.
Basilique de la Nativité, côté Saint Jérôme : Saint Jérôme a traduit la bible en Latin.
Sa statue est mis au milieu d’un cours carré avec quatre orangers dans quatre carré verdoyant autour de la statue.
On regardait, au dessus de la porte d’entrée de Sanctae Catharina Virginia et Martiri dicatum, une grande statue de la Sainte vierge.
Nous célébrions la Messe de Noël à Bethelem ..
1 ère lecture IS 62,11-12. ….
Nous chantions « Douce nuit … » à la communion et le chant «Il est né le divin enfant …. » à la fin de la messe .
Nous descendions dans une grotte au fond du basilique qui ressemblait à une grotte dans laquelle Jésus est né :
Une prière et des chants pour mémoriser là où : » Le Verbe s’est fait chair … » » Que vive mon âme à te louer … ta parole seigneur , ta parole Seigneur «
9h40 le car nous amenait vers Jérusalem , du côté du mont des oliviers.
Il y avait plein d’autres grottes dans lesquelles Jésus faisait des réunions avec ses disciples pour les enseigner.
Nous allions repasser le fameux mur de séparation.
9h 50 Prier l’angélus, un contrôle au passage du mur.
Nous continuions à chanter: « Tourner les yeux vers le Seigneur et rayonner de joie …. »
« Rendons gloire à notre Dieu Lui qui fit des merveilles … »
« Que ma bouche chante ta louange ! »
1 ère lettre de Pierre : la grâce de Dieu …
10h10 Nous avions à notre droite : la vallée de la géhenne, Nous arrivions à la porte de Jaffa.
Les murs de Jérusalem ont environ 4200 m de long et 6/7m de hauteur,
Nous arrivions à la porte de Damas qui s’ouvre sur le souk arabe …
Puis nous avancions vers la porte d’Hérode, appelée aussi la porte des fleurs,
La porte des lions, à notre gauche la vallée des Cédrons, côté Jérusalem Est,
Nous montions vers le mont des oliviers .
Casquette sur la tête, sac à dos, prêts pour descendre du car, prêt pour bondir,
On nous lâche comme des parachutistes de l’hélicoptère….
Deux minutes pour que 44 parachutistes pèlerins atterrissent sur le trottoir car il n’y a pas beaucoup de temps pour le car de se stationner à cet endroit.
Au Carmen du pater Eleona, nous nous suivions pour descendre dans un Oratoire des carmélites :
ici Jésus a enseigné à ses disciplines le « Notre Père »
Par le baptême, nous sommes les enfants de Dieu.
Avec toi, Jésus et par l’esprit saint, nous disons tout ensemble le Notre Père.
Nous nous envoyions à chacun/chacune une effusion de l’esprit saint
Dans la cours , sur tous les murs sont écrits sur les plaques émaillées le Notre Père avec toutes les langues qui existent dans le monde : anglais, français, allemand , chinois ,vietnamien , breton, maya ….
En descendant vers Jérusalem par le mont des oliviers : Nous avons vu une église en forme de larme : « dominus flevit », là où le seigneur a pleuré pour la ville de Jérusalem.
La descente était assez raide du mont des oliviers pour rejoindre une Vue panoramique de Jérusalem.
Le long de la descente, nous voyions des cimetières avec des tombes aux pierres blanchies.
Les juifs amenaient des pierres en offrande à la visite des tombes car la Pierre ( veut dire even : une transmission entre le père et le fils )
Le père Benoît nous parlait de l’architecture de Jérusalem et du dôme des rochers, le plan de Jérusalem avec les différents quartiers
Pour les musulmans : le dôme de rocher est le rocher sur lequel Abraham a voulu tué son fils en offrande à Dieu.
C’est aussi sur ce rocher que Mohamed a reçu les versets du coran …
Nous regardions la Porte Dorée par laquelle Jésus est entré triomphant à Jérusalem …
Les tombeaux sont placés sur la route de l’arrivée du messie…
La Ville est coupée en 4 : quartier juif , quartier arménien , quartier arable , quartier chrétien.
La colline de Sion. Le dôme doré de la grande mosquée.
Les deux coupoles gris : le cénacle et Le dôme blanc germanique
Saint Luc, chapitre 19
Nous voici arrivés à la Basilique de Gethsémani, nous entrions dans un jardin avec des oliviers centenaires.
Tout le monde a pu touché le rocher sur l’autel de la basilique le rocher sur lequel Jésus a fait son agonie,
Marc chapitre 13 , demandons ensemble la grâce de l’abandon …
12 h 35 tout le monde dans le car … nous avions presque atteint la vitesse lumière pour monter dans le car.
Le père Benoît , pris de compassion , nous a félicité de notre timing respecté !
Le père Mathieu nous faisait déjeuner dans une maison écossaise pour faire plaisir à sa marraine.
Nous avions bien restauré. Le temps était ensoleillé et frais .
14h16 départ au cénacle Entrée par la porte des lions Arrivés au cénacle, là où se passaient la cène, la Pentecôte, la Dormission, l’assomption de Marie et l’élection de Mathias .
Livre de Deutéronome : les juifs doivent se souvenir tout le temps …
le rite de la veillée pascale juive …rite de mémoire … du temps de Moïse , ils faisaient ceci en mémoire du départ d Égypte . La messe catholique transpose l eucharistie de maintenant au dernier repas de Jésus : se rendre contemporain du repas de Jésus par action du Saint Esprit . Compression du temps : anticiper vers la fin du temps , à la vie éternelle . Compression de l espace par la communion des saints .
Explication du père Benoît sur la prière : « je vous salue Marie» à l’entrée de l église de la Dormission
Nous prions Dieu, nous ne prions pas Marie, nous prions avec Marie
c’est une forme de prière lithanique, le rythme nous entraine dans un 1er niveau de conscience
Puis notre esprit va atteindre un 2ème niveau de prière, méditer la parole de Dieu
Avant de faire le chapelet , il est souhaitable de lire une parole de Dieu
et de regarder l’icône devant nous pour mieux méditer cette Parole .
Dans La Chapelle de la dormission , nous avons récité avec le père Matthieu : Trois « je vous salue Marie »…
chapelet avec les mystères joyeux.
Notre groupe était trop nombreux et bloquait les autres groupes de voir la dormission … grincement des dents …
le père Matthieu restait imperturbable dans sa litanie …
et il nous entraînait vers la basilique allemande gardée par les sœurs bénédictines de la dormission
Lettre Saint Paul aux pharisiens …. . Puis lecture de l’Évangile sur Le lavement des pieds …
Nous faisions une bonne sieste dans la grande basilique, alors que le père Benoît nous parle de ….
Le lavements des pieds des pèlerins se faisaient dans un silence méditatif,
nous chantions la phrase de Sainte Thérèse de L ‘enfant Jésus :
« aimer , c’est tout donner … c’est se donner soi même »
S’abaisser , laver les pieds du frère , devenu humble comme un enfant , laissant le Père nous guider sur les chemins de la vie .
Nous allions maintenant dans Jérusalem en traversant la grande muraille pour entrer dans le quartier arménien et visiter un Monastère arménien , style byzantin , nous voyons un Modillon: visage du christ sur un linge sculpté sous un arc .
Traversant le souk pour repasser dans le quartier chrétien nous arrivions en marche nordique au palais de David et le palais d’Hérode avec trois grands tours dans le passé, il reste seulement qu’une seule tour maintenant.
Toujours entraînés en marche forcée par le père Benoît , nous avons pu atteindre la porte de Jaffa à la levée de la lune , puis une minute de pause pour que Laurence puisse prendre une photo de groupe couleur fushia.
17h40 dans le car , nous retournions à Bethlehem . Les courses autorisées dans une temple de la tentation
Dîner à 20h
21h 15 Témoignage de Mr Stéphane Amar ,
journaliste français juif qui a pris la décision de venir avec sa femme et ses deux enfants vivre en Israel.
Tous les pèlerins sont très fatigués , somnolents mais ils ont apprécié son témoignage
un autre pèlerin du car de Mantes-La-Jolie
Terre Sainte 2019 07.11.2019
7h22 départ du car,
Agnès Chambre nous rappelait les consignes : respect des horaires , tenues correctes , ne pas s’asseoir avec les jambes croisées , pas de courses au cours de la journée , suivre le guide de près , avoir de la monnaie sur soi pour donner aux différents intervenants et différents offices?
Nous célébrions la messe de Noël dans la basilique de la nativité de Bethlehem :
le père Benoît parlait de la lignée de Juda, de Ruth … Jessé David ….. Joseph Jésus qui était né dans une grotte de Bethlehem.
En l’an 339, la mère de l’empereur Constantin Hélène faisait construire la basilique de la nativité.
La porte d’entrée sous un arc est abaissée exprès car Jésus, qui est Dieu, s’est abaissé pour prendre la condition de l’homme aussi pour éviter que les cavaliers puissent entrer par cette porte puis la deuxième porte est en bois sculpté, Elle a été offerte par le roi de l’Arménie. La grotte de la nativité est juste derrière le rideau.
On allions partir vers la partie catholique,
On était à 5 m de La Croix à 5 branches, mystère de l’incarnation, que le monde entier vient la toucher.
Basilique de la Nativité, côté Saint Jérôme : Saint Jérôme a traduit la bible en Latin.
Sa statue est mis au milieu d’un cours carré avec quatre orangers dans quatre carré verdoyant autour de la statue.
On regardait, au dessus de la porte d’entrée de Sanctae Catharina Virginia et Martiri dicatum, une grande statue de la Sainte vierge.
Nous célébrions la Messe de Noël à Bethelem ..
1 ère lecture IS 62,11-12. ….
Nous chantions « Douce nuit … » à la communion et le chant «Il est né le divin enfant …. » à la fin de la messe .
Nous descendions dans une grotte au fond du basilique qui ressemblait à une grotte dans laquelle Jésus est né :
Une prière et des chants pour mémoriser là où : » Le Verbe s’est fait chair … » » Que vive mon âme à te louer … ta parole seigneur , ta parole Seigneur «
9h40 le car nous amenait vers Jérusalem , du côté du mont des oliviers.
Il y avait plein d’autres grottes dans lesquelles Jésus faisait des réunions avec ses disciples pour les enseigner.
Nous allions repasser le fameux mur de séparation.
9h 50 Prier l’angélus, un contrôle au passage du mur.
Nous continuions à chanter: « Tourner les yeux vers le Seigneur et rayonner de joie …. »
« Rendons gloire à notre Dieu Lui qui fit des merveilles … »
« Que ma bouche chante ta louange ! »
1 ère lettre de Pierre : la grâce de Dieu …
10h10 Nous avions à notre droite : la vallée de la géhenne, Nous arrivions à la porte de Jaffa.
Les murs de Jérusalem ont environ 4200 m de long et 6/7m de hauteur,
Nous arrivions à la porte de Damas qui s’ouvre sur le souk arabe …
Puis nous avancions vers la porte d’Hérode, appelée aussi la porte des fleurs,
La porte des lions, à notre gauche la vallée des Cédrons, côté Jérusalem Est,
Nous montions vers le mont des oliviers .
Casquette sur la tête, sac à dos, prêts pour descendre du car, prêt pour bondir,
On nous lâche comme des parachutistes de l’hélicoptère….
Deux minutes pour que 44 parachutistes pèlerins atterrissent sur le trottoir car il n’y a pas beaucoup de temps pour le car de se stationner à cet endroit.
Au Carmen du pater Eleona, nous nous suivions pour descendre dans un Oratoire des carmélites :
ici Jésus a enseigné à ses disciplines le « Notre Père »
Par le baptême, nous sommes les enfants de Dieu.
Avec toi, Jésus et par l’esprit saint, nous disons tout ensemble le Notre Père.
Nous nous envoyions à chacun/chacune une effusion de l’esprit saint
Dans la cours , sur tous les murs sont écrits sur les plaques émaillées le Notre Père avec toutes les langues qui existent dans le monde : anglais, français, allemand , chinois ,vietnamien , breton, maya ….
En descendant vers Jérusalem par le mont des oliviers : Nous avons vu une église en forme de larme : « dominus flevit », là où le seigneur a pleuré pour la ville de Jérusalem.
La descente était assez raide du mont des oliviers pour rejoindre une Vue panoramique de Jérusalem.
Le long de la descente, nous voyions des cimetières avec des tombes aux pierres blanchies.
Les juifs amenaient des pierres en offrande à la visite des tombes car la Pierre ( veut dire even : une transmission entre le père et le fils )
Le père Benoît nous parlait de l’architecture de Jérusalem et du dôme des rochers, le plan de Jérusalem avec les différents quartiers
Pour les musulmans : le dôme de rocher est le rocher sur lequel Abraham a voulu tué son fils en offrande à Dieu.
C’est aussi sur ce rocher que Mohamed a reçu les versets du coran …
Nous regardions la Porte Dorée par laquelle Jésus est entré triomphant à Jérusalem …
Les tombeaux sont placés sur la route de l’arrivée du messie…
La Ville est coupée en 4 : quartier juif , quartier arménien , quartier arable , quartier chrétien.
La colline de Sion. Le dôme doré de la grande mosquée.
Les deux coupoles gris : le cénacle et Le dôme blanc germanique
Saint Luc, chapitre 19
Nous voici arrivés à la Basilique de Gethsémani, nous entrions dans un jardin avec des oliviers centenaires.
Tout le monde a pu touché le rocher sur l’autel de la basilique le rocher sur lequel Jésus a fait son agonie,
Marc chapitre 13 , demandons ensemble la grâce de l’abandon …
12 h 35 tout le monde dans le car … nous avions presque atteint la vitesse lumière pour monter dans le car.
Le père Benoît , pris de compassion , nous a félicité de notre timing respecté !
Le père Mathieu nous faisait déjeuner dans une maison écossaise pour faire plaisir à sa marraine.
Nous avions bien restauré. Le temps était ensoleillé et frais .
14h16 départ au cénacle Entrée par la porte des lions Arrivés au cénacle, là où se passaient la cène, la Pentecôte, la Dormission, l’assomption de Marie et l’élection de Mathias .
Livre de Deutéronome : les juifs doivent se souvenir tout le temps …
le rite de la veillée pascale juive …rite de mémoire … du temps de Moïse , ils faisaient ceci en mémoire du départ d Égypte . La messe catholique transpose l eucharistie de maintenant au dernier repas de Jésus : se rendre contemporain du repas de Jésus par action du Saint Esprit . Compression du temps : anticiper vers la fin du temps , à la vie éternelle . Compression de l espace par la communion des saints .
Explication du père Benoît sur la prière : « je vous salue Marie» à l’entrée de l église de la Dormission
Nous prions Dieu, nous ne prions pas Marie, nous prions avec Marie
c’est une forme de prière lithanique, le rythme nous entraine dans un 1er niveau de conscience
Puis notre esprit va atteindre un 2ème niveau de prière, méditer la parole de Dieu
Avant de faire le chapelet , il est souhaitable de lire une parole de Dieu
et de regarder l’icône devant nous pour mieux méditer cette Parole .
Dans La Chapelle de la dormission , nous avons récité avec le père Matthieu : Trois « je vous salue Marie »…
chapelet avec les mystères joyeux.
Notre groupe était trop nombreux et bloquait les autres groupes de voir la dormission … grincement des dents …
le père Matthieu restait imperturbable dans sa litanie …
et il nous entraînait vers la basilique allemande gardée par les sœurs bénédictines de la dormission
Lettre Saint Paul aux pharisiens …. . Puis lecture de l’Évangile sur Le lavement des pieds …
Nous faisions une bonne sieste dans la grande basilique, alors que le père Benoît nous parle de ….
Le lavements des pieds des pèlerins se faisaient dans un silence méditatif,
nous chantions la phrase de Sainte Thérèse de L ‘enfant Jésus :
« aimer , c’est tout donner … c’est se donner soi même »
S’abaisser , laver les pieds du frère , devenu humble comme un enfant , laissant le Père nous guider sur les chemins de la vie .
Nous allions maintenant dans Jérusalem en traversant la grande muraille pour entrer dans le quartier arménien et visiter un Monastère arménien , style byzantin , nous voyons un Modillon: visage du christ sur un linge sculpté sous un arc .
Traversant le souk pour repasser dans le quartier chrétien nous arrivions en marche nordique au palais de David et le palais d’Hérode avec trois grands tours dans le passé, il reste seulement qu’une seule tour maintenant.
Toujours entraînés en marche forcée par le père Benoît , nous avons pu atteindre la porte de Jaffa à la levée de la lune , puis une minute de pause pour que Laurence puisse prendre une photo de groupe couleur fushia.
17h40 dans le car , nous retournions à Bethlehem . Les courses autorisées dans une temple de la tentation
Dîner à 20h
21h 15 Témoignage de Mr Stéphane Amar ,
journaliste français juif qui a pris la décision de venir avec sa femme et ses deux enfants vivre en Israel.
Tous les pèlerins sont très fatigués , somnolents mais ils ont apprécié son témoignage.
Bref, seulement 7 blessés sur 134 soldats à l’attaque 5 jours, nous sommes des vrais combattants résistants, forts et méritants de l’armée de Dieu sur cette Terre Sainte.
un autre pèlerin du car de Mantes-La-Jolie
